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Je pensais dormir jusqu’à demain, mais non, mon sommeil ne dure que deux heures, il faut croire que je suis reposé. J’ai juste mal au ventre parce que cela fait longtemps que je ne suis pas allé aux toilettes, je suis coincé. Dans la matinée, j’achèterai des choses qui m’aideront. Des pruneaux par exemple, du jus de fruits en masse, je vais faire une cure et ça devrait se décoincer, et je devrais perdre pas mal de mon ventre trop tendu. Ce n’est pas très ragoûtant de parler de cela, mais c’est un phénomène de santé récurrent. D’autant plus depuis que j’ai repris les antidépresseurs. Ils assèchent tout mon corps, de ma bouche à mon intestin, de ma peau du visage à mes pieds qui ne sont plus aussi doux qu’avant. Je vieillis, mais je ne suis pas inquiet. Juste un contretemps. C’est tout. Ce ne sera pas la première fois, ni la dernière.
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J’écoute à nouveau le disque d’hier, disons de plus tôt dans la nuit. Il vaut ses cinq étoiles. Des morceaux jusqu’à 17 minutes de long, tout comme j’aime. Je vais avoir des tâches débiles aujourd’hui, de la perte de temps. Il faudra faire ça bien high avec le casque sans fil. Parce que l’aspirateur me hante.
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Je pensais à la nourriture : il faut vraiment que je change tout et que je mange plus varié que simplement des pâtes et des biscuits tous les jours, arrosés de Coca. C’est très malsain, bien qu’économique. Mais quand cela vient menacer l’intégrité de mon corps, alors j’ai besoin d’autre chose, que je reprenne les choses en main du côté de la nourriture, même si cela me coûte plus cher. Je n’ai pas de grosses dépenses à faire, donc je peux me permettre de manger mieux. Un de ces jours, je vais me faire de la soupe moi-même en allant acheter les ingrédients au Halles. Quand j’étais avec Audrey, c’est moi qui cuisinait et faisait la soupe, la majorité du temps, puis qu’elle bossait plus que moi, enfin, ça dépend des périodes, mais je fais très attention à ce que ma soupe soit simple et très bonne quand même. Mais je n’ai plus de cocotte minute, je l’utilisais toujours pour faire la soupe, ni du bidule à mixer. Peut-être que j’en achèterai une un jour, mais je n’en suis pas du tout certain. Je vais donc essayer avec la casserole la plus grande, qui n’est pas si grande que cela.
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Il gèle dehors et je n’ai pas mis le chauffage. Je n’ai jamais froid quand je me lève. Au bout d’un moment seulement, je me rends compte qu’il fait réellement froid. Ce n’est qu’à ce moment que je mets le radiateur en marche. Je suis plus habillé aussi
Je suis cependant content d’avoir pu terminer un livre hier soir. Je vais pouvoir en commencer un autre et ne plus m’arrêter. J’ai lu une bonne moitié du livre en Anglais, mais j’ai la version française et j’ai terminée sur cette dernière, lire en Anglais demande beaucoup trop d’efforts pour moi.
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Je prends un gramme de truffes dans la nuit, il est 04h20, 420, l’heure de fumer de la weed dans la culture alternative de l’herbe. Je trouve un nouveau disque d’un groupe que j’aime bien, qui est bizarre, assez noise. Et je fume de la weed, même si je suis sous psilo et que nous sommes au milieu de la nuit. Il n’existe plus de règles dans la vie. On prend les choses comme elles viennent.
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Big Brave — Nature Morte (2023)
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Voilà, maintenant je voyage sur le disque, tout va bien. On ne sait plus quel jour on est, puis on se dit finalement que c’est dimanche et qu’il va falloir attendre neuf heures pour aller à Carouf dans un froid de canard. Le disque est bien. Ils ne se renouvellent pas trop, mais comme ils ont leur propre musique originale, il peuvent se passer de cela.
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Je tente le café, un peu avant cinq heures. Cela fait suite à ma pipe de tabac et de weed. Je décide de me faire un grand massage du ventre, façon russe. Cela m’aide bien, je me sens mieux. Je me sens plutôt bien tout à coup. Certainement la weed qui est bien montée par-dessus les truffes. Je dois trouver quelque chose à faire. De nuit, je ne peux pas vraiment passer l’aspirateur, tout l’immeuble va l’entendre. Bref, oublions les tâches ménagères qui ne fonctionnent que la journée, même si je dors souvent dans la journée.
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J’écoute des choses au hasard de ce que je trouve d’inconnu sur internet. La plupart ne sont pas du tout à mon goût, mais parfois il m’arrive d’écouter un album entier que jamais je ne mettrais dans ma discothèque. Pourtant, je suis curieux de voir ce que cela donne, alors j’écoute. Comme les recommandations sont pourries sur Apple Music, je n’ai pas peur de péter l’algorithme comme dans Spotify qui possède un superbe algorithme. On peut même se mettre en mode privé pour écouter des choses qui ne viendront pas ensuite modifier nos excellentes recommandations.
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Je me prépare un autre café, très allongé et léger, pour ne pas que cela m’agresse le ventre qui n’a pas besoin de ça. Mais un mug de café léger n’a aucune conséquence sur mon ventre donc c’est bon. Je compte tenir jusqu’à mes courses à neuf heures. Je ne pense pas manger aujourd’hui, peut-être juste des pruneaux secs, comme je le disais. Mais rien d’autre. Je ne vais que boire ce qu’il faut pour mon ventre. J’écoute du Metal Progressif ultra kitsch, mais ça passe bizarrement bien à presque 6 heures. Je dois attendre encore trois heures, le temps d’écouter plein de bêtises qui sont en plus vieilles comme le monde en ce qui concerne ce genre.
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Pour dire, là j’écoute un vieil album de Dio, le truc que j’évite depuis mon adolescence, comme faisant partie des trucs ultra kitsch, impossibles à écouter. Cette nuit, j’écoute vraiment des disques pour me rendre compte. Sans mentir, Dio est un excellent chanteur, mais alors la musique ne vaut vraiment pas grand-chose. Les gens appellent ça du Metal, mais c’est du Hard Rock, ce qui n’a rien à voir.
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J’ai tellement de temps à faire passer avant les courses de demain que je fume encore un peu de Gorilla Glue, pure cette fois. Je crois que l’on peut officiellement annoncer que je suis high à plein temps, le jour, la nuit, le matin, le soir. Si je vais chez des gens, je ne fume pas, je ne mange que très peu, même si ce sont mes rares très proches. Donc très rarement. Une fois par mois environ.
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Le chat est allé manger, je lui avais rempli son pot chinois. Donc il me monte dessus, sans autre forme de procès. Je continue à écrire et j’ai mon casque sans fil, donc je ne suis pas trop ennuyé. Certes, il aimerait que je le caresse à plein temps, mais je le fais déjà assez longtemps chaque jour. Ce chat est aimé comme un roi, on ne peut pas le plaindre. Le chat est assis sur mes cuisse. Il regarde l’écran. Il n’a pas la place pour se coucher, donc c’est un peu inconfortable pour lui, mais pour moi aussi, je suis tout voûté au-dessus de lui, pour faire mes affaires sur mon Mac. Il finit par se retourner, je le fais descendre, mais cet idiot se jette sur la table en verre encore une fois, il ne veut pas sauter sur le sol. Pfff.
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Il me reste trois heures avant de sortir. Ça va en faire des disques à écouter. Je ne suis pas d’humeur pour regarder un film ou une série, je préfère faire cela le soir.
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J’ai beaucoup moins mal au ventre, c’est bien. J’ai fait la mise à jour des mes affaires Apple et le casque qui ne marchait plus sur le Mac, marche de nouveau. Ouf. Je ne voulais pas le remettre une fois encore en réparation, ça m’aurait saoulé d’Apple.
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Comme je vais faire pipi et qu’il fait super froid pour se déshabiller dans la partie non chauffée de la maison, je commence à mettre le chauffage à sept heures. Comme si j’avais fait une nuit, donc je n’ai pas trop dépensé dans ce cas. J’écoute, avec un peu de fatigue, qui sera augmentée par les médicaments bientôt nécessaires, un groupe que j’aimais il y a dix ans facile et qui était bon. Maintenant, c’est devenu de la soupe commerciale, depuis des années déjà. Le chanteur est un connard. Tous les membres originaux du groupe sont partis malgré le succès du groupe de plus en plus grand, jusqu’à devenir un incontournable dans le Metal mainstream. Mais donc cela va très bien avec mon délire d’écouter des trucs inécoutables en vérité. À cette heure-ci, dans mon état, tout est permis.
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Je fume encore de la GG, un bon bout, pour patienter deux heures et parce qu’on s’en fiche. Je me fais chauffer les fesses sur le radiateur unique qui tourne. Le disque se termine, je vais écouter les précédents, pour voir l’évolution en sens inverse de ce groupe dont j’ai un hoodie et que je kiffais vraiment à leurs débuts.
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Le ciel commence à s’éclaircir, le jour va poindre dans quelques minutes. Il fait un degré, pas chaud pour aller au Carouf, mais nécessité donc tant pis, je m’habillerai bien. Il n’y aura personne dans les rues, ce sera bien et ça me sortira un peu. Il y aura peut-être même du soleil, ce qui serait fort agréable avec ce froid. Pfiou, la montée est raide. Presque huit heures, je bloque sur le disque, sur mes livres, sur le radiateur bouillant qui m’attire en permanence. Cela ne chauffe que peu la pièce, il est petit. Il va falloir que je mette en route le deuxième chauffage de la pièce, de la même taille, pour réussir à chauffer le tout. Quand il gèle dehors pendant des jours, forcément, les immeubles sont gelés, l’inertie est grande, comme pour la chaleur en été. Pas de chance avec ces histoires de températures. On dirait qu’elles ne sont pas faites pour nous. Et c’est vrai, elles ne sont pas faites pour nous. Nous ne sommes qu’un épiphénomène. Nous disparaîtrons bientôt, en tant qu’espèce et la planète continuera de tourner, gros caillou bizarre.
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Je prends mes médicaments, je vais nettoyer un peu la caisse du chat, je m’active un peu pour ne pas avoir trop froid. Que je sois au moins réchauffé avant de sortir faire mes courses. Je n’ai plus du tout mal au ventre, je me suis réveillé cette nuit en fait parce que je ne digérais pas les choses de la veilles, trop sucrées et grasses, le meilleur forcément, ce que mon ventre ne supporte pas bien. Quelle malchance !
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En descendant toujours dans le passé des albums du groupe que j’écoute ce matin, on arrive à un disque que je connais enfin, qui est plus comme leur style premier, même si c’est là que j’ai décroché, parce que cela devenait trop mainstream, autant pour la popularité que pour les compositions. Et tout simplement, les musiciens qui ont changé après ce disque. Je commence à être fatigué. J’aimerais bien sortir, faire mes courses et aller me coucher ensuite, ce serait bien quand même.
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Je m’habille chaudement en avance, pour réchauffer mes vêtements d’extérieur et pour être prêt à partir parce que j’atteins certaines limites de fatigue. Avec un peu de chance, marcher au frais me rendra un peu de force, parce que je me sens quand même bien faiblard, j’ai les yeux qui ont tendance à se fermer tout seuls. Je vais prendre beaucoup de boissons en fait. Et pas de Coca du tout, j’ai fait une overdose je pense. Il est temps de passer à autre chose, à l’eau pétillante comme je le faisais avant. Et aux jus de fruits. Le mélange sera parfait. Parfois, je peux prendre un Monster, mais il faut qu’il soit bon et sans sucre, pas forcément facile à trouver. Et puis c’est cher.
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Bon, j’ai fait les courses de liquides divers et de pruneaux qui coûtaient une fortune. Mais ils sont français et tout, bravo. Je n’ai pas vraiment trouvé de jus qui me satisfasse vraiment, pareil pour l’eau pétillante. J’ai pris les choses approximatives, mais je suis satisfait. Je n’ai rien acheté à manger, je vais passer la journée à jeûner je pense. Déjà, je pense que je vais probablement dormir d’ici peu, j’ai terminé la tête de GG que j’avais commencée. Je bois, j’ai mangé des pruneaux, la seule chose autorisée aujourd’hui. Je baisse les chauffages parce que le soleil est de sortie, ce qui est parfait et aussi parce que j’ai chaud de mon escapade en ville.
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Je repasse sur des disques plus honnêtes, je commence une journée, sans avoir dormi plus de deux heures ou quelque chose comme ça. Je n’ai pas sommeil finalement, je suis plutôt en forme même. Sortir m’a débarrassé de ma léthargie.
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Kampfar — Ofidians Manifest (2019)
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Du Metal nordique en VO. Juste okay pour trois étoiles. Il n’existe que trois, quatre ou cinq étoiles. En-dessous je ne garde pas, et au-dessus il n’y a rien de mieux. Cela reste assez basique ma gestion de la musique alors qu’avant, les taxonomies étaient bien plus complexes. Même pour les étoiles, j’utilisais aussi les une et deux étoiles.
Je vais dormir, à près deux heures, autant que cette nuit. Je pense que je suis entré dans le monde merveilleux des siestes, mais c’est dommage, les grands repos sont tellement rare et agréable chez moi. Je bois du jus de fruits et de l’eau pétillante au magnesium. Je fais les choses bien. Et rien de solide ne rentre dans mon ventre exceptés les pruneaux. Si avec ce régime, je ne vais pas aux toilettes, il me faudra un médicament, parce que cela devient délirant ce ventre qui gonfle au fur et à mesure des jours. Ça, c’est depuis que je prends à nouveau des antidépresseurs. C’est absolument certain. Je commence par gérer les radiateurs, il fait suffisamment chaud avec le soleil de midi. Je change de disque. Un Rock Psyché de qualité assez bonne si je m’en souviens bien, je connais mieux des albums plus anciens.
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Major Kong — Off the Scale (2020)
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High de nouveau, je profite du disque, de ma chance d’être toujours là, hors des ennuis pour une journée et une nuit de plus. Mon casque sans fil a eu un raté, mais je l’ai reconnecté direct et je n’ai plus de problème. Ces choses à la pointe de la technologie ne sont jamais exemptes de défauts, souvent de gros défauts. M’enfin, à part le remplacement par des neufs qui marchent il y a quelques mois, on peut dire que je les utilise souvent. On se sent seul au monde dans ce casque. L’annulation de bruit extérieur est telle qu’on se croirait avec les oreilles qui décompressent en avion ou sous l’eau. La sensation étrange d’être sourd. Puis arrive la musique et le monde n’est plus que musique. C’est parfait.
Il manque le vrai Lossless, mais le bluetooth ne permet pas d’envoyer rapidement autant de données, c’est une limite technologique pour le moment. Mais l’équilibre du casque est excellent, le son pas du tout déformé comme dans les autres casques sans fil du marché, qui sont full basses pour faire plaisir aux oreilles des non-avertis. La weed me donne faim à défaut d’être trop high, je mange des pruneaux. Et je bois de l’eau pétillante au magnesium concentré. Ce n’est pas bon, mais pour le transit si. C’est fou comme le corps peut obnubiler un esprit pour une chose si triviale que la digestion humaine.
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The Machine — Offblast! (2015)
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Rock psyché que j’écoute depuis longtemps. Combien de jams j’ai fait comme leur premier morceau de 15 minutes… Beaucoup, c’était trop bien.
Échange salves de sms entre Lucile et moi. On se motive pour passer l’aspirateur, cela fonctionne, je passe le mien rapidement, 20 minutes, sans faire dans les détails qui ne servent à rien. Pas de bol, mon casque Apple fait des siennes, je dois arrêter de l’utiliser. C’est dommage, je vais le reboot ou quelque chose comme ça. Mais plus tard. J’ai le hasch qui est bien monté avec l’aspirateur à fond les ballons. Je suis bien à écouter mon disque là.
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Je bloque, je m’occupe du chat. Je pense qu’il est l’heure de faire une sieste, peut-être que j’aurais moins mal au ventre coincé. Je dors bien, j’ai moins mal au ventre, je suis certain que la moitié c’est de l’air, que j’ai du gaz naturel à revendre et il n’est pas liquéfié comme celui des USA. Ha ha. Non, sans déconner, j’ai surtout l’impression d’avoir une occlusion intestinale. Demain, j’irai à la pharmacie pour un médocs pour se vider. Je déteste ça, je n’en prends jamais, cela se résout toujours d’une manière ou d’une autre, mais cette fois je suis inquiet.
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Lowrider — Ode to Io (2000)
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Du Stoner Rock traditionnel.
Miracle de la vie, en forçant comme un tordu, à deux doigts de l’AVC, j’ai pu faire popo, pas énorme, mais suffisamment pour être rassuré de ne pas avoir une occlusion. J’ai déjà moins mal au ventre en plus. Putain je suis content. Je vais pouvoir prendre ma douche content ce soir. J’étais tellement inquiet que j’en ai parlé à mes parents et à Lucile. J’ai eu les deux au phone, c’était vraiment bien. J’étais content d’avoir Lucile au phone, j’ai l’impression que cela faisait longtemps et qu’on aurait pu palabrer pendant de délicieuses heures. Mais elle une soirée chez elle de prévue donc tornade blanche pour son chez elle.
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Je regarde les trois heures de Thinkerview avec Aurore Stéphant, bien compliqué mais très intéressant. J’ai halluciné de voir qu’elle avait une mémoire quasi-photographique, ça m’a tué. Par moment, elle cherche une référence, elle regarde dans le vide devant elle et elle lit dans ses souvenirs le termes exacts des recherches par exemple. Elle est douée, c’est pas peu de le dire.
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Je vais faire une sieste, il est deux heures. Je vais me laver les dents, j’en ai une qui me fait un peu mal. Je vais fumer un bon bout de weed avant tout, ou plutôt du hasch, c’est encore mieux pour dormir.
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